Ouvrages de référence

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Philippe Cornu, Dictionnaire encyclopédique du bouddhisme, Seuil
Ce dictionnaire concerne toutes les formes de bouddhisme existant dans le monde asiatique et ailleurs. Il répond à l'intérêt religieux et intellectuel porté au bouddhisme, et il a été conçu comme un outil de consultation, d'information, de travail et de recherche à destination non seulement des étudiants en bouddhisme, en philosophie, en anthropologie et en sciences des religions, mais également d'un large public intéressé par les divers aspects du bouddhisme. Il se propose de faire le point de l'ensemble des connaissances disponibles à la fois dans les traditions bouddhiques elles-mêmes et dans les travaux occidentaux sur le bouddhisme. Ce dictionnaire est fait d'articles de fond. Outre les notions reçues en français ("vacuité", "agrégat", "impermanence"...), ont été retenus les termes courants dans les principales langues de référence du bouddhisme: sanskrit (pâli), tibétain, chinois, japonais. Pour chaque entrée est donné l'équivalent dans les autres langues de référence. Dans ce dictionnaire, on trouvera: les grands concepts philosophiques et spirituels du bouddhisme envisagés selon les points de vue des différentes écoles existantes; l'histoire du bouddhisme dans les différentes contrées et cultures asiatiques; la biographie des grandes personnalités qui ont marqué le bouddhisme (auteurs de traités, principaux mystiques, fondateurs d'écoles, souverains qui ont soutenu l'implantation du bouddhisme en leur pays...); des monographies sur les grands textes du bouddhisme; l'iconographie des bouddhas, bodhisattva et déités; l'art bouddhique dans les différentes régions asiatiques; un index des ternies dans les différentes langues du bouddhisme. Un système de renvois permet de "naviguer" dans la constellation des mots qui concerne chaque rubrique. Une importante bibliographie, des cartes, des schémas, des illustrations couronnent l'ensemble. Un dictionnaire unique en son genre, sans équivalent aujourd'hui en France et dans le monde.

 

41O9MGG5KTL. SY445

Les Quatre Nobles Vérités, commentaires du Vénérable Ajahn Sumedho

Disponible gratuitement en cliquant ici

 

 

 

 

 

41fpUz-xHlL. SY445

Le Dhammapada, Points
Dans la profusion d'ouvrages que constituent les écrits canoniques du bouddhisme, le Dhammapada occupe une place particulière, par sa forme littéraire comme par sa dimension compacte. Considéré comme un fleuron de cette littérature, il en est l'un des textes les plus populaires, par sa capacité à exprimer l'essence de la pensée bouddhique sous une forme simple et poétique, propre de ce fait à parler au plus grand nombre.
Composé de quatre-vingt-trois versets (c'est le sens de " pada "), qui rapportent des paroles prononcées par le Bouddha en diverses circonstances au cours de ses quarante-cinq années de prédication, le Dhammapada se présente comme un exposé de la doctrine bouddhique : tel est en effet le sens de " Dhamma " qui signifie Loi, non celle des hommes, mais la loi naturelle régissant l'ordre des choses, celle que précisément le Bouddha a découverte en s'éveillant à l'ultime vérité. Prendre le temps de s'en pénétrer, les relier les uns aux autres, sentir pleinement leur pouvoir de conviction ou d'évocation, c'est sans doute ainsi qu'il faut lire ces versets chargés de sens qui nous apportent l'enseignement du Bouddha si directement grâce à leur spontanéité, leur simplicité, leur beauté évidente.

 

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Shantideva, Bodhicaryâvatâra - La Marche vers l'Eveil, Padmakara
Cette nouvelle traduction de La Marche vers l'Éveil de Shântideva (VIIIe-IXe siècles) a été réalisée à partir du tibétain d'après l'interprétation et les explications détaillées du khenpo Kunzang Palden, disciple de Patrul Rinpoché et héritier d'une tradition millénaire de commentaire de ce texte. Ces explications, traduites intégralement en français, font l'objet des trois volumes des Perles d'ambroisie parues aux éditions Padmakara en 2006 et 2007.

 

 

51Z5DB52R8L. SY300

Le Sûtra du Lotus, Fayard

 

 

 

 

 

 

31JT7VYEMZL. SY445 Le Sûtra du Diamant, Fayard

 

 

 

 

 

 

41RJJW6BR6L. SY445

Le Soûtra de la Liberté inconcevable, Fayard
Abondamment cité dans les traités philosophiques déclenchés par le vide " bouddhique, le Vimalakîrti est un grand roman poétique à la gloire de l'irréalité - donc de l'absence de problème - non seulement du moi mais de toute substance. Rien d'ignoblement, de déliramment nombriliste comme souvent dans le nihilisme à l'européenne. Justement pas ! Aux héros démesurés d'incarner l'exact contraire de la petitesse de ce qui n'est pas infiniment grand ! Jongleurs atemporels, montreurs de vertiges, magiciens des sens toujours offerts aux farces de l'appropriation : aux héros d'incarner les bienfaits de la claire vacuité !Ce soûtra émane essentiellement d'un autre grand personnage que le bouddha historique, Vimalakîrti ; ce texte, l'un des plus célèbres et des plus étudiés du bouddhisme, est ici traduit de sa version chinoise de 406."

 

41H1FYQQKJL. SY445 Le Soûtra du Filet de Brahmâ, Fayard
Ce texte enseigné par le Bouddha est essentiel dans le bouddhisme sino japonais : il énonce et explique les règles de la discipline des bodhisattvas, les adeptes de l'esprit d'Eveil, cette vision du monde qui unit la compassion et la connaissance de la vacuité universelle. Dans le premier livre, le Bouddha revêt un aspect " absolu " pour enseigner l'irréalité de toutes choses, y compris des " valeurs morales ", qui sont toujours relatives, de même que la nécessité de l'apparence du bien. Dans le livre II, ses enseignements prennent la forme de règles de discipline qui constituent en fait la pratique de l'union de la compassion et de la vacuité. Dix fautes extrêmement graves (tuer, voler, forniquer, etc.) peuvent détruire l'esprit d'Eveil du bodhisattva jusqu'à sa vie suivante. Quarante-huit fautes " moins graves " (manger de la viande, etc.) forment autant de souillures dont il est possible de se purifier sans attendre. Le Soûtra du Filet de Brahmâ est un manuel de théorie et de pratique de l'esprit d'Eveil en même temps qu'un " disciplinaire " pour la confession bimensuelle des adeptes du Grand Véhicule du bouddhisme. La traduction ici présentée a été réalisée à partir de la version chinoise de ce texte, due à Kumârajîva (traducteur du Soûtra de la Liberté inconcevable). Daté de l'an 402 de notre ère, il s'agit d'un autre classique du bouddhisme chinois peu connu en Occident.

 

41al2jbkLnL. SY445 Dôgen, Gakudoyojin-Shu, Librairie Droz

 

 

 

 

 

51GENE4Q2YL. SY445 Dôgen, Shôbôgenzô Zuimonki, Sully
Le Shobogenzo Zuimonki est un recueil d'enseignements du maître zen Dogen pris en note et consignés par son fidèle disciple et successeur, Koun Ejo. Eihei Dogen (1200-1253) est l'un des grands maîtres de l'histoire du bouddhisme dont l'influence se perpétue jusqu'à nos jours. Fondateur du zen Soto au Japon, il est tenu dans la plus haute estime à la fois pour la rigueur de sa pratique monastique et pour l'acuité de son esprit. Son oeuvre monumentale, le Shobogenzo, est le sommet de la littérature et de la philosophie bouddhiques japonaises mais reste difficile d'accès notamment en raison de grandes difficultés de traduction. Il en va différemment avec le Zuimonki, qui signifie littéralement Notes fidèles de paroles entendues . Koun Ejo y a rassemblé des conseils, des admonestations, des réponses à des questions, que Dogen a délivrés au groupe de disciples qui l'entouraient au Koshoji, près de Kyoto, qui fut le premier véritable temple zen Soto au Japon. Il s'adresse à des moines, des moniales, et également des laïcs, dans un langage simple et direct. Il y est question de la pratique, de l'attitude correcte à développer dans la vie, des difficultés rencontrées sur le chemin, qui sont les mêmes hier qu'aujourd'hui. Dogen parle sans ambage de l'Eveil et de la stricte discipline qui y conduit ; son enseignement, limpide et sans équivoque, montre, loin des spéculations intellectuelles, ce qu'est réellement la pratique du bouddhisme zen. Ce Shobogenzo Zuimonki, traduit et commenté à partir de la version la plus ancienne dite de Choenji par Kengan D. Robert, lui-même maître zen formé au temple de Eiheiji, constitue donc un véritable joyau pour tous ceux qui veulent découvrir et étudier le zen et le bouddhisme.

 

41NKZGH155L. SY445 Dôgen, Shôbôgenzô Yui Butsu Yo Butsu (Seul Bouddha connaît Bouddha), Shoji (Vie-mort), Encre marine

 

 

 

 

 

31635xL7a0L. SY445 Dôgen, Chaque instant est un instant de plénitude : Shôbôgenzô Zenki, Encre marine
Zenki est un cas particulier dans le Shôbôgenzô de Dôgen (1200-1253). Il est la transcription d'un discours qu'il prononça en 1242, non pas dans son monastère, mais dans la résidence d'un seigneur de guerre, devant un auditoire vraisemblablement composé de laïcs et de guerriers. Il est également l'un des fascicules les plus courts de son oeuvre. Il ne faudrait pas en déduire pour autant qu'il s'agit d'un texte de vulgarisation, car c'est sans concession qu'il y présente sa vision du monde la nature entière naît et meurt à chaque instant, chaque instant est un instant de plénitude.

 

31HNqQ7ZtYL. SY445 Dôgen, Shôbôgenzô In-mo, Encre marine
Tout au long de son grand traité d'athéologie, le Shobogenzo. Dogen (1200-1253) enseigne la vision juste. Voir juste c'est voir en cessant de voir ce qui n'est pas, c'est s'éveiller à la vraie nature des choses. La vraie nature des choses, le coeur, est sans qui, ni quoi, sans quand, ni où, calme et apaisée, vide. Mais l'éveil à est une manière de dire. L'éveil ne s'obtient pas. L'éveil et l'homme et le mouvement de l'un vers l'autre sont des hypostases ; aucun n'existe en soi, indépendamment de l'autre. Dôgen met en exergue le syllogisme du maître chan Yunju Daoying (?-902) : l'homme, tout homme sans exception, est déjà l'éveil ; l'éveil est déjà l'homme ; donc il n'y a pas à se soucier d'obtenir l'éveil. Cette voie sans trajet, de plain - pied avec l'éveil, s'appelle tout simplement ça. Si c'est la pensée sans compromission de Nâgârjuna, le fondateur de la tradition du bouddhisme Mâdhyamaka, qui constitue l'ossature du Shôbô - genzô c'est la patrologie chan de l'époque Tang qui fait office de matériau, un matériau souple et malléable, indispensable à l'expression de l'audacieuse méthode exégétique de son auteur. Les mots y sont considérés non pas comme sacrés, mais comme le filet qu'on jette après avoir attrapé sa proie.

 

41FG5N8J9HL. SY445 Dôgen, Shôbôgenzô Uji – Être-temps, Encre marine

 

 

 

 

 

 

31tMcbizoGL. SY445 Dôgen, Shôbôgenzô Bussho – La nature donc Bouddha, Encre marine

 

 

 

 

 

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